Réalisation : Ben Hopkins
Avec : Tom Fisher, Ian Mc Neice, Tony Maudsley, William Keen, Andrew Melville
Version originale (anglais) sous-titrée en français

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rubrique 'INFORMATIONS'
Chauffeur de taxi, il immobilise le trafic londonien en dirigeant tous les taxis vers la même adresse. Ministre de la Pêche, il déclare la guerre. Responsable du réseau métropolitain, il le transforme en une chaîne de trains fantômes qui récupèrent les âmes des morts pour les amener dans les limbes...
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http://www.allocine.fr/out.asp?redir=http%3A%2F%2Fwww%2E9vies%2Ecom
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L'Express - Stéphane Brisset
Il faut le voir comme un collage d'impressions et de détournements, une sorte de mosaïque jouissive de moments délirants et amers. Les 9 Vies de Tomas Katz demandent certes un petit effort, mais valent incontestablement le détour.
Monsieur Cinéma - Jean-Luc Brunet
Un vrai truc de " ouf " qui finit par produire sur le spectateur consentant un effet hypnotique certain et, sans conteste, une expérience originale de cinéma qu'il serait dommage de bouder tant il est rare de découvrir un film aussi libre et insolite.
Les Inrockuptibles - Alex Masson
Hopkins allie ainsi l'expressionnisme allemand à la grandiloquence de Derek Jarman, greffe de force le loufoque des Monthy Python à la cruauté de Tod Browning....
Télérama - Cécile Mury
Mais cet objet arty très original, entre délire spirituel et comédie noire, distille une étrangeté inédite, accentuée par la présence hypnotique du comédien voleur d'âmes, Thomas Fisher.
Nova planet - Alex Masson
A défaut d'un film abouti, Hopkins fait des propositions passionnantes, surtout quand elles consistent à faire table rase des images du passé pour amorcer une reconstruction.
Le Monde - Jean-François Rauger
Imprégné de toutes sortes d'influences, depuis l'expressionnisme allemand jusqu'à l'esthétique des vidéoclips musicaux en passant par la science-fiction, le film de Ben Hopkins se présente comme un objet cinématographique bizarre, fier d'une étrangeté dont on voit bien pourtant qu'elle n'est faite que d'un mélange stylistique un peu affecté.
Figaroscope - La rédaction
Déroutant.
Première - Gérard Delorme
L'absurdité des dialogues, l'interprétation en roue libre, la structure marabout de ficelle et le patchwork de styles (...) sont déroutants et rendent le film difficile à suivre.
Studio - Patrick Fabre
L'atout du cinéaste ne réside pas dans la narration. En revanche, sa réalisation est stupéfiante, énergique, bourrée d'idées.
par
http://www.9vies.com